Trouver et acheter un bien immobilier répondant aux besoins devient de plus en plus difficile. Même s’ils sont nombreux à être intéressés, l’accès est bloqué par les prix. Malgré les chutes enregistrées ces dernières années, les moyens des pluparts ne les permettent toujours pas.
La lutte menée par les primo-accédants
Les études se portaient sur le marché immobilier des 20 régions de l’Ile-de-France. L’université Paris-Dauphine en est l’auteur selon laquelle différents prix ont été comparés entre eux. Evidemment, il y a des facteurs pris en compte comme le revenu des occupants, l’état des biens, …. Parmi les 68000 enquêtés, les statuts et les profils se divergeaient tous : célibataire, avec enfant, locataire, bailleur, …. La conclusion était qu’ils ont été tous lancé dans un parcours de combattant concernant le prix quelque soit la zone géographique comme l’immobilier basque.
Les données collectées permettaient de conclure également que peu de primo-accédant avait la capacité à devenir propriétaire d’un immobilier répondant à la fois à ses besoins ainsi qu’une satisfaction de la situation géographique. Pour Paris, 90% avait cette possibilité. Pour les restants, se procurer un bien devenait un simple rêve. Pour les autres villes, les résultats rapportaient que : 8,5% pour Neuilly-sur-Seine, 10,6% pour Versaille, 48,7% pour Evry en Essonne, 47,7% pour Argenteuil et 46,7% pour Meaux en Seine-et-Marne.
Les opportunités pour les secondo-accédants
Pour les secondo-accédants, la situation est bien différente. Chacun dispose d’un grand privilège pour se lancer dans l’achat d’un bien. L’étude menée sur les mêmes villes indiquaient que nombreux sont ceux qui ont déjà acquis un premier bien, voire même qu’ils ont aussi un projet d’en acheter un deuxième. 2 personnes sur 3 dans la catégorie des secondo-accédants ont la possibilité et les moyens pour de tels investissements.
On compte 64,4% dans le groupe pouvant retrouver le statut de propriétaire à Paris ; 58,70% pour Neuilly-sur-Seine. Dans les autres régions, les pourcentages sont surprenants : 96,70% à Evry et à Argenteuil, 96,50% à Meaux, 95,80% à Saint-Denis, .... Même pour les jeunes ménages, réaliser un tel projet est à portée de main.
Pour les années à venir, les experts estiment que les retombées des prix seront favorables aux primo-accédants. Ce qui rendrait plus facile l’accès à divers types de bien répondant à leurs besoins.